Le blog de ARIEL Ondoua

INCAS say that : « world is maya » it means that all in this world is an illusion. All the sights and sounds, feelings and emotions in the dream can be just as vivid and intense as our experience in reality. Many philosophers and students of the Tao feel that of all the stories ever told by Chuang Tzu, one of the best is « the dream of butterfly. There is so much agreement on this that the butterfly has come to represent Chuang Tzu in Chinese culture.

It was a cool evening in ancient China. Chuang Tzu's friend went looking for him at the local inn. He found Chuang Tzu sitting at a table, sipping his drink in a contemplative mood.

"There you are!" Chuang Tzu's friend greeted him. "I thought by now you would be telling everybody another one of your stories. Why so quiet?"

"There is a question on my mind," said Chuang Tzu, "a question about existence."

"I see. Would you like me to leave you alone to your thoughts?"

"No, let me share it with you. Perhaps you can provide me with your perspective."

"My perspective is of little value, but I would be glad to listen." He pulled up a chair.

"I was out for a stroll late in the afternoon," said Chuang Tzu. "I went to one of my favorite spots under a tree. I sat there, thinking about the meaning of life. It was so warm and pleasant that I soon relaxed, dozed off, and drifted into a dream. In my dream, I found myself flying up above the field. I looked behind me and saw that I had wings. They were large and beautiful, and they fluttered rapidly. I had turned into a butterfly! It was such a feeling of freedom and joy, to be so carefree and fly around so lightly in any way I wished. Everything in this dream felt absolutely real in every way. Before long, I forgot that I was ever Chuang Tzu. I was simply the butterfly and nothing else."

"I've had dreams of flying myself, but never as a butterly," Chuang Tzu's friend said. "This dream sounds like a wonderful experience."

"It was, but like all things, it had to end sooner or later. Gradually, I woke up and realized that I was Chuang Tzu after all. This is what puzzles me."

"What is so puzzling about it? You had a nice dream, that's all there is to it."

"What if I am dreaming right now? This conversation I am having with you seems real in every way, but so did my dream. I thought I was Chuang Tzu who had a dream of being a butterfly. What if I am a butterfly who, at this very moment, is dreaming of being Chuang Tzu?"

"Well, I can tell you that you are actually Chuang Tzu, not a butterfly."

Chuang Tzu smiled: "You may simply be part of my dream, no more or less real than anything else. Thus, there is nothing you can do to help me identify the distinction between Chuang Tzu and the butterfly. This, my friend, is the essential question about the transformation of existence."

: - Parce que tu n'es pas là pour faire un choix. Tu l'as déjà fait. Tu es là pour savoir POURQUOI tu l'as fait. Je pensais que tu aurais déjà compris tout ça…

L'Oracle: Ceux qui font leur travail, qui remplissent leur rôle, sont invisibles. Leur présence est insoupçonnable. Mais les autres… Ils font parler d'eux tout le temps

L'Oracle: - Mais si bien sûr. A chaque fois que l'on dit avoir vu un fantôme ou un ange, les histoires de vampires ou de loups-garous ou d'extraterrestres, c'est le système qui assimile un programme qui fait quelque chose qui'il n'est pas supposé faire.

Neo: - Pourquoi ne vois-je pas ce qui lui arrive?

L'Oracle: - On ne voit jamais au-delà des choix que l'on ne comprend pas.

L'Agent Smith :Nous ne sommes pas ici parce que nous sommes libres. Nous sommes ici parce que nous ne sommes PAS libres.

Personne ne peut échapper à la raison, ne peut nier le rôle. Car si nous n'avions pas de rôle à jouer, nous n'existerions pas. Notre rôle nous a créé. Il nous connecte. Il nous porte. Nous guide. Nous stimule. C'est le rôle qui nous définit. C'est le rôle qui nous lie.

Morpheus: - Tout commence d'abord par un choix.

Le Mérovingien: - Non. Faux. Le choix est une illusion créée entre ceux qui ont le pouvoir et ceux qui ne l'ont pas.

Neo: - Il n'y a que 2 explications possibles. Soit on ne me l'a pas dit, soit personne ne le sait.

Neo: - Le choix. Le problème, c'est le choix.

 Trinity: Morpheus croit que c'est l'élu.
Cypher: Et toi ?
Trinity: Peu importe ce que je crois

Trinity: "Ils" t'espionnent constamment.
Neo: Qui ça?
Trinity: S'il te plait, écoute-moi! Je sais pourquoi tu es ici. Je sais tout ce que tu as fait. Je sais pourquoi tu dors à peine, pourquoi tu vis seul et pourquoi nuit après nuit tu restes assis devant ton écran. Tu le cherches désesperemment Je le sais parce que moi aussi je l'ai longtemps cherché. Et quand il m'a trouvée, il m'a dit que ce n'était pas lui que je cherchais vraiment. En fait je cherchais une réponse. A la question qui nous anime tous Neo, A la question qui t'as poussé à venir. Tu connais cette question, comme je la connaissais...

Trinity: La réponse est là, quelque part. Elle te cherche aussi, et elle te trouveras, si tu veux qu'elle te trouve...

Morpheus: Allo, Neo. Sais-tu qui est à l'appareil ?
Neo: Morpheus !
Morpheus: Oui. Je t'ai longtemps cherché, Neo. J'ignore si tu es prêt à voir ce que j'ai à te montrer, mais malheureusement nous manquons de temps toi et moi.

Morpheus: Je peux te guider, mais tu dois m'obéir aveuglement.

Morpheus: Parce que tu est l'élu, Neo. Tu as peut être passé ces dernières années à me chercher, mais moi j'ai passé toute ma vie à t'attendre. Veux tu toujours me rencontrer?

 Trinity: Parce que tu reviens de là-bas, Neo. Tu connais cette route, tu sais exactement comment elle se termine, et je sais que tu ne veux pas finir comme ça.

Morpheus: Je le lis dans ton regard. Tu as le regard d'un homme qui est prêt à croire tout ce qu'il voit parce qu'il s'attend à s' éveiller à tout moment

  Crois -tu en la destinée Neo ?
Neo: Non.
Morpheus: Et pourquoi?
Neo: Parce que je n'aime pas l'idée de ne pas être aux commandes de ma vie.

Morpheus:  Je vais te dire pourquoi tu es là : tu es là parce que tu as un savoir, un savoir que tu ne t'expliques pas mais qui t'habite, un savoir que tu as ressenti toute ta vie. Tu sais que le monde ne tourne pas rond sans comprendre pourquoi, mais tu le sais, comme un implant dans ton esprit, de quoi te rendre malade. C'est ce sentiment qui t'as amené jusqu'à moi.

Elle est le monde qu'on supperpose à ton regard pour t'empêcher de voir la vérité.
Neo: Quelle vérité ?
Morpheus: Le fait que tu es un esclave, Neo. Comme tous les autres tu es né enchainé.

Morpheus: Le temps joue toujours contre nous

Morpheus: N'as tu jamais fais ces rêves, Neo, qui ont l'air plus vrais que la réalité? Et si tu était incapable de sortir d'un de ces rêves ? Comment ferais tu la différence entre le monde du rêve et le monde réel ?

Morpheus: Je n'ai pas besoin d'espérer : je le sais.

Morpheus: Tu vois clair pour la premiere fois. Dors, Neo. Les réponses vont venir."

Le don :

"Alors, dit un homme riche, Parle-nous du Don.
Et il répondit :
Vous donnez bien peu lorsque vous donnez de vos biens.
C’est lorsque vous donnez de vous-même que vous donnez vraiment.
Car que sont vos biens sinon des choses que vous gardez et surveillez, de crainte de vous trouver demain dans la misère ?
Et demain, qu’apportera demain au chien tellement prudent qu’il enterre sans repères des os dans le sable, tandis qu’il suit les pèlerins vers la ville sainte ?
Et qu’est ce que la crainte de la misère sinon la misère elle-même ?
La peur de la soif quand votre puits est plein, n’est-ce pas une soit inextinguible ?

Il y a ceux qui ont beaucoup et qui donnent peu – et comme ils en attendent de la reconnaissance, ce désir caché dégrade leurs dons.
Et il y a ceux qui ont peu et qui donnent tout.
Ceux-ci ont foi dans la vie et dans la générosité de la vie, et leur coffre n’est jamais vide.

Il y a ceux qui donnent avec joie, et cette joie est leur récompense.
Et il y a ceux qui donnent avec peine, et cette peine est leur baptême.
Et il y a ceux qui donnent sans éprouver de peine à donner, sans y chercher non plus ni joie ni conscience de leur vertu ;
Ils donnent comme là-bas, dans la vallée, le myrte exhale son parfum dans l’air.
C’est par leurs mains que Dieu parle et par leurs yeux qu’Il sourit à la terre."

KHALIL GIBRAN